Les tempes serrées en étau ne laissent à mon esprit qu’un fil étroit sur lequel il s’avance, entre santé et maladie, raison et folie, responsabilité et abandon. Demain aura lieu la reprise des cours et je ne pourrais en être plus éloigné. Je ne sais quel miracle me permettra d’y faire face. Néanmoins il faut que la roue continue à tourner sur l’étroit filin qui la supporte tant que celui-ci ne cède pas. La main de marie dans la mienne est la seule certitude du temps présent.
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